Nous entendons de plus en plus de la part de nos concitoyens qu’il faut voyager « à côté de chez nous », « seulement en France », ou même pour les plus extrêmes d’entre eux qu’il ne faut plus voyager du tout. Effectivement, ce serait l’idéal pour notre planète. Mais imaginez-vous seulement les conséquences sociales à moyen terme (nous ne parlerons même pas des conséquences économiques de ne plus recevoir de visiteurs). Le voyage est à la fois un antistress, un vecteur de culture, d’éducation, et un formidable outil de tolérance. De plus, c’est le seul point de rencontre entre les peuples. Un monde qui ne voyage pas est un monde qui ne trouvera pas la paix. Ne plus voyager serait certes la meilleure solution pour notre planète mais les conséquences sociales seraient dévastatrices pour le monde tel que nous le connaissons aujourd’hui.